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Acteur de l’EdTech, nous sommes à l’initiative d’un programme d’autoformation inédit pour faire réussir les étudiants français et internationaux dans l’enseignement supérieur grâce aux soft skills.

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Chiffres clés

Chiffres clés Quelques chiffres pour mieux comprendre notre action.

100%

des utilisateurs de l’IA vont devoir affûter leurs soft skills pour mettre en doute, interpréter et contrôler les résultats d’une IA
Lefebvre-Dalloz, 2023

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2030

d’ici cette date, les soft skills seront au cœur des stratégies de recrutement des entreprises.
Pôle Emploi, 2022

40%

des étudiants étrangers fréquentant un établissement du réseau de l’Université du QUÉBEC n’obtiennent pas leur Bachelor
Ministère de l’Enseignement supérieur du Québec, 2021

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433

milliards de dollars américains représentent le marché des étudiants internationaux en 2030
Les Affaires, 05/01/2023

52%

des étudiants échouent en fin de première année de licence à l’université en France
MESRI, 2024

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66%

des étudiants internationaux ne valident pas leur licence en France
MESRI, 2025

1 sur 4

entreprise compte déployer des formations aux soft skills pour répondre aux enjeux de l’IA
Baromètre Lefebvre-Dalloz, 2025

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62ème

sur 65, tel est le rang des élèves français au classement de la confiance en leurs propres capacités
PISA, 2023

30%

des collaborateurs dotés de soft skills ont plus de chances d’évoluer vers des postes à responsabilité
Linkedin Global Talent Trends, 2025

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Notre solution EdTech

Notre solution EdTech
Un programme d’autoformation inédit pour faire réussir les étudiants français et internationaux dans l’enseignement supérieur grâce aux soft skills.

Témoignages des bénéficiaires

  • « Les réponses et les conseils apportés par ce programme représentent un avantage considérable permettant d’envisager avec confiance les années à venir. À titre personnel, j’ai le sentiment d’une assurance exceptionnelle pour affronter les aléas de l’enseignement supérieur. »


    Pierre de Freitas, « Major de la prise de parole en public ».

  • « Avoir reçu la distinction en confiance en soi et estime de soi représente énormément pour moi, car ces deux notions sont à la base de tout ce que l’on souhaite accomplir de grand. Aujourd’hui, grâce au programme, je me sens plus affirmée et prête à relever les nombreux défis auxquels je vais devoir faire face dans mes projets à venir. »


    Constance Roux, « Major pour la confiance et l’estime de soi ».

  • « Le programme nous a demandé de prendre conscience des relations interculturelles. Et, en sortant juste un peu de notre zone de confort, de quelque culture que l’on vienne, on s'est demandé comment notre auditoire nous percevait, à ce que l'on renvoyait. En quelque sorte, on s'est écouté nous-même. Et c'est à cela que l'on doit réfléchir à chaque prise de parole avec celui qu'on appelle « l'autre ». »


    Radu-Mihai Dragulin, « Major pour la capacité à naviguer en environnement multiculturel ». .

  • « Cela m’a fait particulièrement plaisir d’être Major dans la capacité à faire preuve du sens de l’effort, car je ne sais pas si j’ai réellement le sens de l’effort, mais je connais la valeur du travail. Pour moi, le travail est l’une des meilleures façons d’obtenir ce que l’on veut. Et tout au long de ma scolarité, je peux vous le garantir, j’ai vraiment travaillé ! C’est pourquoi cette nomination m’a tant fait plaisir, je la vois comme une reconnaissance du devoir accompli. »


    Clotilde Lauze, « Major pour la capacité à faire preuve du sens de l’effort ».

  • « Au départ, je n’avais pas pris conscience que l’on pouvait valoriser à ce point mon activité extrascolaire. Mais si j’ai été choisi comme Major de promotion dans la distinction « esprit d’entreprendre », je sais maintenant que c’est pour ma capacité à gérer un budget, trouver des solutions de financement pour atteindre mes objectifs dans ma jeune carrière sportive en motocross. »


    Nolan Terrien-Lamoureux, « Major Esprit d’entreprendre ».

  • « Je me sens légitime aujourd’hui de prétendre au titre de Major de promotion, non pas uniquement par mes résultats scolaires, mais surtout par mon engagement humain. Parce qu’un Major, c’est aussi quelqu’un qui ouvre des voies, qui soutient, qui tire le groupe vers le haut, et qui, face à l’adversité, continue d’avancer avec conviction et humilité. »


    Zoé Mathurin-Salmon, « Major pour la capacité à faire preuve de résilience ».

  • « J’ai été honorée d’être nommée Major dans la catégorie "prise d’initiative". C’est une reconnaissance qui me touche, car elle reflète les efforts que j’ai fait pour construire mon projet et aller chercher les réponses dont j’avais besoin. Tant que l’on ne fait que ce que l’on nous dit, on reste toujours sous tutelle. Prendre des initiatives, c’est entrer dans le monde de la maturité. Et aujourd’hui, je sais que je ne pourrai plus faire marche arrière. »


    Hawa Diabira, « Major pour la capacité à la prise d’initiatives ».

  • « Quand, on m’a remis le titre de Major Leadership, je vous avoue ne pas avoir compris tout de suite pourquoi ? Il m’a alors été expliqué que mon expression fluide et compréhensible, mon sens de la coopération, la bienveillance et le souci du partage d’informations utiles aux autres camarades, étaient toutes des qualités souvent attribuées aux leaders. »


    Gabriel Durengue, « Major Leadership ».

  • « Lors du Programme Soft Skills, nous avons étudié des notions comme l’autonomie, notion à travers laquelle j’ai pu me reconnaître. En effet, depuis mes 14 ans, pendant l'absence de mes parents, que ce soit pour quelques jours ou pendant une semaine de vacances par exemple, je m’occupe seule, en présence d’un adulte, d’une cinquantaine de chevaux de l’entreprise familiale, ceux d’élevage ainsi que ceux des clients. J’aime particulièrement m’en occuper seule car j’aime être autonome. Cette expérience m'a appris à gérer des situations complexes, à prendre des décisions rapidement, et également être capable d’avoir une grosse responsabilité à tenir. C’est cela les compétences transversales. »


    Margaux Rebeyrol, « Major pour la capacité à faire preuve d’autonomie ».

  • « Avant, j'avais parfois du mal à gérer les conflits ou à exprimer calmement ce que je ressentais. Grâce aux outils que j’ai reçu dans le programme, j'ai compris l'importance d’écouter vraiment l’autre, de prendre du recul et de chercher des solutions gagnant-gagnant plutôt que de réagir à chaud. Finalement, ce que ce programme m’a offert, c’est une nouvelle manière d’être en relation avec les autres : plus apaisée et plus consciente. »


    Chloé Penot, « Major pour la capacité à la résolution de conflit ».

  • « Ces compétences que j’ai apprise à développer tout au long des deux semestres d'apprentissage, me sont surtout utiles, en tant que femme, dans mon rôle de commissaire de piste dans le secteur de la course automobile. Aujourd’hui, je me sens plus à l’aise dans les différents environnements et situations que je peux côtoyer. Ce programme m’a permis de me sentir en position de force dans ce milieu très masculin, ce qui est une qualité indispensable lorsque l'on est commissaire de piste. »


    Camille Wollscheid, « Major de l’adaptabilité à un environnement professionnel ».

  • « Le Programme Soft Skills n’a pas seulement enrichi nos vies, il a redéfini ce que signifie évoluer dans un monde incertain. À chaque étape de notre parcours, il nous rappelle que ce qui importe le plus, ce ne sont pas les certitudes, mais la manière dont nous choisissons de grandir, d’apprendre et de nous adapter. Il nous a invités à comprendre que nous avons les clés pour tracer un chemin qui nous ressemble, et qui nous permet de devenir la meilleure version de nous-même. »


    Vitalina Portnoi, « Major pour la capacité à se fixer et à atteindre ses objectifs ».

Public cible

Qui sont les étudiants en France ?


3 millions
d’étudiants
en France

800 000
étudiants dans l’enseignement supérieur privé en France

430 000
étudiants
internaIonaux
en France

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Collection - Guide d’autoformation - Le Grand Saut

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